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Etude de cas : verrue plantaire



Jeune garçon vient pour une verrue tenace sur sous le pied, au niveau du gras du gros orteil, plutôt vers l’intérieur. Nous évoquons un problème auditif important apparu bébé, un ensemble de peurs irrationnelles, une restriction alimentaire conjointe. Un travail avec psychologue est en court. Je ressens beaucoup de frustration par un serrement et une lourdeur au niveau du Foie. L’emplacement de la verrue sur la zone plantaire associée le confirme. L’atteinte des oreilles signifie une faiblesse énergétique du bas notamment du Rein. Cet organe gère normalement les peurs profondes et la vitalité. Son dérèglement explique les craintes importantes. Les problèmes au niveau de la nourriture s’expliquent par la compression excessive du bois (Foie) qui vient oppresser la terre (estomac). D’autre part, le vide du Rein peut également expliquer l’effondrement du système digestif.

Une verrue représente une accumulation de toxines physiques et psychiques souvent bloquées dans une extrémité car elles ne parviennent pas à sortir, s’exprimer. L’absence de sang et d’énergie déplète les cellules. Le Foie et la Rate se trouvent concernés par l’apport en sang ainsi que l’estomac et l’intestin. Nous observons que cela correspond bien au schéma du jeune homme avec en fond le vide au niveau des Reins. Nous percevons une structure mentale en forme de bulle de protection (surdité) facteur d’isolation. La communication semble difficile notamment avec la figure paternelle. La restriction alimentaire indique un enfermement au sein de la mère par un caprice possessif de désir et de colère mêlés. Il lui faut réaccorder ses énergies masculine et féminine. Cela fait transparaître une fois de plus l’ancrage du bassin et le travail sur les peurs racines.

Nous procédons à une circulation énergétique locale du pied pour nourrir les cellules et apporter une information saine. Puis nous abordons la sphère émotive (père-mère). Un dégagement du plexus semble approprié. Nous ressentons la lourdeur qui signifie la stagnation émotionnelle. Progressivement les côtés s’allègent. Une tension apparue du côté de l’estomac faiblit puis disparaît. D’un coup, notre attention se trouve attiré par le chakra du cœur. Une libération s’effectue. Une sorte de paix douce et sensible s’instille en nous. Finalement, nous posons les mains alternativement sur les reins et le sacrum. La zone se met à vibrer tranquillement, une chaleur agréable se dégage. L’enfant semble apaisé. Nous ressentons un potentiel individuel certain chez lui retenu par de grandes craintes. Ces barrières lui offrent une possibilité de progression s’il ose les aborder. Il sollicite également son entourage dans cet espace vibratoire commun. Une belle expérience mais pas facile.

Nous effectuons un suivi sur dix jours au terme desquels la verrue tombe. Puis nous poursuivons les soins énergétiques pour le fond personnel. Quinze jours supplémentaires apportent un calme et une libération des émotions appréciables. A lui de continuer son chemin.



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